Economie17 juin 2014
Ma NS-Anne, ne vois-tu rien venir ?
Ni Irak, ni Crimée, ni Bruxelles… et si le premier gisement d’économies de dépenses publiques était le budget d’agences de renseignement et de surveillance électronique très très myopes ?
Il y un peu plus d'un an, Edward Snowden mettait en évidence l'ampleur des moyens déployés par la NSA pour surveiller le moindre quidam sur cette planète. On s'est ensuite aperçu que les États-Unis n'étaient pas les seuls à entretenir des services de surveillance conséquents, pour une rentabilité qui n'est pas toujours prouvée.