International20 avril 2016
Sans armes ni haine ni violence
Dilma Roussef est-elle aux prises avec le dernier avatar de cette longue tradition sud-américaine qu’est le coup d’Etat (quelles que soient ses propres casseroles) ?
Le week end du 16 avril, le Parlement brésilien a voté la destitution de Dilma Roussef. La chef d'Etat s'est déjà plainte à plusieurs reprises d'un "coup d'état politique". Le Washington Post et l'ancien Président Lula abondent dans son sens : les bases juridiques invoquées ne tiennent pas.
Dilma Roussef est-elle aux prises avec le dernier avatar de cette longue tradition sud-américaine qu’est le coup d’Etat (quelles que soient ses propres casseroles) ?
avecPierre Salama