Politique9 avril 2016
Bonnes feuilles
"Adieu mademoiselle" : pourquoi les périls qui menacent vraiment les femmes d’aujourd’hui sont ignorés (quand ils ne sont pas promus) par un néo-féminisme devenu orwellien
Abolir la prostitution, mais autoriser la GPA. Supprimer la différence des genres, mais exiger l’égalité des fonctions. Réclamer l’abolition de la maternité, mais accepter l’imposition du voile. Se proclamer progressiste, mais enchaîner la condition féminine au Marché… Soixante-dix ans après Simone de Beauvoir, Eugénie Bastié dévoile ici la misère du néoféminisme contemporain. Extrait de "Adieu mademoiselle", publié aux éditions du Cerf (1/2).
"Adieu mademoiselle" : pourquoi les périls qui menacent vraiment les femmes d’aujourd’hui sont ignorés (quand ils ne sont pas promus) par un néo-féminisme devenu orwellien
avecEugénie Bastié