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Il est accusé de complicité de "présentation et publication de comptes inexacts" et "diffusion de fausses informations" après le rachat de la société minière Uramin.

Avec la mise en examen d’Anne Lauvergeon, l’affaire Areva connait un coup d’accélérateur. Au centre des investigations de la justice : l’OPA, en 2007, d’Areva sur Uramin qui aurait fait perdre 3 milliards d’euros au groupe nucléaire. Y aurait-il eu imprudence puis présentation de comptes inexacts ? Quel rôle a joué Anne Lauvergeon dans ce désastre ?

Sorti d'un pétrin judiciaire, l'ancienne patronne d'Areva s'est dite soulagée et en a profité pour dénoncer Claude Guéant qui pour elle serait à l'origine d'un coup monté avec les Qataris...

L'ex-Présidente d'Areva était convoquée vendredi matin par trois juges d'instruction dans le cadre de l'affaire "UraMin". Elle a été mise en examen pour présentation et publication de comptes inexacts et diffusion de fausses informations.

Olivier Fric est soupçonné d'avoir perçu une plus-value après avoir obtenu des informations sur le rachat de la société Uramin par Areva en 2007.

Après plusieurs mois d’enquête préliminaire, le Parquet national financier vient d’ouvrir une information judiciaire contre X. Objectif : faire la lumière sur le rachat en 2007 par Areva de l’obscur groupe canadien d’exploration minière UraMin.

Avi Pazner a touché au minimum 585 000 euros entre 2010 et 2013.

Mais aussi l'appel de François Bayrou pour une "majorité réformiste et républicaine", les faiblesses comparées de Juppé, Sarkozy et Fillon, la petite précision d'Eric Zemmour à propos du "Suicide français", la réaction de "L'Obs" face au "Jouyetgate", le "magot africain" de Patrick Balkany et, et, et... la galaxie Fabius.

La brigade financière a visité le siège du groupe nucléaire à la Défense et le domicile de son ancienne présidente, Anne Lauvergeon, ce mardi, dans le cadre de l’enquête préliminaire sur le rachat de la société minière UraMin.

Selon Le Monde, l'enquête ordonnée par le parquet national financier vise des faits de "présentation ou publication de comptes inexacts ou infidèles", "diffusion d'informations fausses ou trompeuses" et "faux et usage de faux".

Les accusations lancées contre Anne Lauvergeon sont abandonnées.