MiamDes youtubers réclament goulûment une jolie taxe
Ce n’est pas parce que notre indécidable président a, apparemment, renoncé à se représenter que le quinquennat en est pour autant terminé. En six mois, on peut encore faire de gros dégâts. Et c’est ce à quoi semblent s’employer les députés dans leur législorrhée avec le retour, impromptu et obstiné, de la "taxe youtube".
7 décembre 2016