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Mais aussi une ration de trèfle au quart de seconde, un vert de course en céramique, une fluorescence hautement certifiée et la classe verte des talons au poignet…

Mais aussi une montre urbaine pleine d’urbanité, un certificat de bonnes mœurs horlogères, une californienne dont le cœur bat très fort, un empereur japonais à l’honneur et une « plongeuse » qui aime trop les eaux suisses…

Mais aussi une montre qui en a sous le capot préféré de James Bond, une ancre qu’on peut remonter en toute élégance et une roulette russe qui ne fracassera pas les crânes…

Mais aussi un réveil en lumière pour la Belle au bois dormant, une "plongeuse" nostalgiquement carbonée, un coup de crayon antiviral et de quoi garder la tête haute malgré le temps qui passe…

Mais aussi une montre de vacances idéale, une horlogerie furtive sous pavillon rock, les Swatch légumières et impériales du musée du Louvre et le prototype hors de prix retrouvé chez des malfrats français…

Mais aussi, en direct des salons horlogers de Genève, une nouvelle horlogerie hélio-mécanique qui fait des bulles, une méduse qui pulse du côté de Murano, dans la lagune de Venise, et un cœur de carbone qui fait battre le cœur des amateurs de précision horlogère…

Mais aussi la montre qui rend un hommage phyto-mécanique à notre Mère Nature, les trois disques qui vont souffler leurs cinq bougies et tout ce qu’il faut savoir sur les tics et les tacs de l’actualité des montres…

Mais aussi les ponts d’or qui ne sont plus en or, la furtivité contemporaine d’un chronographe tricolore, le cuir qui semble tressé d’argent et les « brèves de remontoir » de la semaine…

Mais aussi le dépouillement qui redouble au réveil, le harnachement qui ne se prend pas au sérieux, le bleu de la nuit qui orbite dans le temps et la lumière qui fuse dans les heures liquides…

Mais aussi le point concave d’un design tout en sobriété, les couleurs d’une montre qui prend le volant et les heures qui comptent triple pour les voyageurs…

Mais aussi un régulateur en apesanteur, un blindage en céramique transparente digne d’un drone de combat et une séparation en douceur des heures, des minutes et des secondes…

Mais aussi ce temps qui s’affirme au-delà des aiguilles, le pop-art qui éclabousse les poignets et l’éclat de rire d’une Maxi Swiss plus suisse que nature…