L'angoisseCe que notre obsession pour la disparition du vol 370 dit des difficultés de notre cerveau à accepter les mystères non résolus
Une situation qui reste inexpliquée génère a priori plus de peurs et d'obsessions qu'une nouvelle terrible – même plus grave – mais clairement établie et sans zone d'ombre. A croire que le cerveau humain déteste plus l'inconnu que le tragique.
15 mars 2014