Contenus en rapport avec le mot-clé James Foley

Une procédure d'exhumation de victimes du terrorisme islamique est en cours.

Kidnappé par l'état islamique, Daniel Rye a survécu à 9 mois de captivité en 2013 avant d'être libéré contre rançon. Son témoignage en dit long sur les horreurs pratiquées par l'équipe de feu "Jihadi John".

Selon le site américain BuzzFeed, pour preuve qu’il s’agit bien du corps de l'Américain, les terroristes seraient prêts à fournir un échantillon ADN.

Ce jeudi, le directeur du FBI a annoncé avoir identifié l’auteur des meurtres de James Foley et Steven Stoloff, sans pour autant donner son nom.

Diane Foley a déclaré sur CNN que sa famille aurait été menacée de poursuites si elle avait essayé de lever des fonds pour le versement d'une rançon aux ravisseurs de son fils.

Selon les informations du Monde, l'auteur présumé de la tuerie de Bruxelles aurait été l'un des gardiens des otages français en Syrie, et de l'américain James Foley, décapité et égorgé le 20 août par l'Etat islamique en Irak.

Dans une vidéo postée sur YouTube, l'humoriste compare la mort du journaliste à celles du colonel Kadhafi en Libye ou de Saddam Hussein en Irak.

Le Royaume-Uni et les Etats-Unis se sont dits "écoeurés" après la diffusion par l'EI de la vidéo montrant la décapitation de Steven Sotloff.

Dans une vidéo publiée sur internet, les djihadistes assurent avoir exécuté en deuxième otage, un journaliste américain.

Le journaliste Steven Sotloff, disparu depuis un an, pourrait être exécuté comme l'a été James Foley, a prévenu l'EIIL il y a quelques jours.

La résolution de la crise en Irak nécessite de faire des choix parfois cornéliens. Entre un dictateur suspecté d'avoir enfreint la législation internationale en utilisant des armes chimiques et un groupe de terroristes djihadistes, le dilemme moral se pose pour les Occidentaux.

Un des conseillers de Barack Obama sur la politique étrangère, Ben Rhodes, a affirmé que le Pentagone voulait procéder à des frappes sur l'Etat islamique, sans être "limité par les frontières".

Peu avant de mourir, le reporter avait demandé à un otage sur le point d'être libéré de mémoriser une lettre. Une fois relâché, celui-ci l'a dictée à la mère de James Foley. Il demandait à ses proches de "rester forts".

D’après le Sunday Times, l’homme, qui a exécuté le journaliste américain serait un rappeur britannique de 23 ans.

Les djihadistes de l'état islamique (EIIL) affirment avoir proposé cet échange dans un mail publié par le "Global Post", un des employeurs de l'otage exécuté.

Le Global Post a publié un email envoyé par les membres de l'Etat islamique à la famille de James Foley. Dans ce message, les djihadistes expliquent notamment que "d'autres gouvernements" ont accepté "des transactions en liquide" pour obtenir la libération d'otages.

La famille du reporter américain tué par un djihadiste de l'Etat Islamique a été "profondément touchée et reconnaissante" de la démarche du pape.

Selon le chef d'état-major interarmées Martin Dempsey, pour venir à bout de l'EI, il faudra s'y attaquer "aussi en Syrie" : là où les djihadistes sont les plus armés et les plus forts.

La mort du journaliste américain des mains d'un bourreau de l'Etat islamique, alors qu'auparavant il était prisonnier de combattants pro-Assad, alimente les spéculations sur la partie jouée par Bachar el-Assad.

"Nous n'avons pas encore identifié l'individu responsable de cet acte, mais pour autant qu'on puisse en juger, il apparaît de plus en plus probable qu'il s'agisse d'un ressortissant britannique", a indiqué ce mercredi 20 août David Cameron.