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Si la fusion a lieu, la société géante, qui serait nommée « France Médias », aurait un budget de quatre milliards d’euros.

Agnès Saal avait été sanctionnée pour des frais de taxis indus dans l'exercice de ses fonctions. La Légion d’honneur vient de lui retirer, pour deux ans, son titre de chevalier et sa promotion au grade d'officier a été annulée.

L'ancienne dirigeante de l'Ina et du Centre Pompidou va débuter sa nouvelle mission de haut fonctionnaire à l'égalité, la diversité et la prévention des discriminations dès le 1er septembre.

L'enquête avait été ouverte en 2015 après un signalement du ministère de la Culture.

Lundi, un rapport de la Cour des comptes pointe des irrégularités sur le train de vie de l'actuel président de Radio France lorsqu'il dirigeait l'INA.

Le Point a publié un exemplaire de la lettre qui sera adressée au président de la République par les amis de l'ex patronne de l'Ina.

Elle avait dépensé plus de 40 000 euros en frais de taxi.

Il s'agit d'une somme très supérieure à celle qui avait poussé Agnès Sall à quitter la direction de l'INA en avril (40 000 euros en six mois).

L'actuel président de Radio France est visé par une enquête préliminaire pour des contrats passés entre 2010 et 2014, période à laquelle il dirigeait l'INA.

Fleur Pellerin, ministre de la Culture : "De tels comportements ne sont pas acceptables".

Après avoir démissionné de la présidence de l'INA le 28 avril pour des frais de taxi mirobolants, Agnès Saal rejoint la rue de Valois.

Alors qu'il était président de l'Ina, l'actuel PDG de Radio France aurait passé de coûteux contrats de communication sans mise en concurrence.

Dimanche, Le Figaro avait épinglé ses frais de taxi exorbitants – plus de 40 000 euros en dix mois.

A la tête de l'Institut national de l'audiovisuel, Agnès Saal utilisait le taxis pour ses trajets professionnels et privés.

D'après le Canard enchaîné, Mathieu Gallet aurait sollicité entre 2010 et 2014 les services de six cabinets de consultants pour 1 million d'euros, aux frais de l'INA.

A la suite d'un coup d'Etat militaire, le général Augusto Pinochet a pris le pouvoir au Chili le 11 septembre 1973, éjectant le président Salvador Allende. Retour sur une date historique.

Les mots sortis ce dimanche par le ministre du Travail rappellent ceux de l'ancien Premier ministre... avec un effet similaire.