Contenus en rapport avec le mot-clé créanciers

Et il semble que Pékin soit un créancier beaucoup moins arrangeant que les « méchants » Occidentaux.

Selon les chiffres communiqués par le gouvernement allemand, le pays aurait bénéficié de 2,9 milliards d’euros d’intérêts en provenance de la Grèce depuis le début du programme "d’aide" octroyé au pays en 2010.

Le CIRI ( Comité interministériel de restructuration industrielle) a désormais 35 ans...

L'annonce a été faite ce mardi matin par un responsable du ministère grec des Finances à l'issue de négociations marathon à Athènes.

"Les discussions ont avancé mieux que je ne m'y attendais", a déclaré le ministre des finances grec.

L’Assemblée grecque votera ce mercredi de nouvelles réformes sur la justice civile et le système bancaire.

Après 17 heures de négociations, la Grèce et ses créanciers ont enfin trouvé un accord. L'assemblée national votera mercredi pour l'approuver. Mais les réactions des créanciers sont partagées.

La crise grecque a d’ores et déjà coûté 220 milliards d'euros. Qui des Grecs, de l’Etat grec, des banques grecques ou des créanciers étrangers a récupéré quoi ?

Le gouvernement de Syriza a finalement repris la quasi-totalité des demandes formulées le 26 juin dernier par la BCE et le FMI.

"Nous allons répondre à l’ultimatum en consultant le peuple et je m’engage à respecter votre décision quelle qu’elle soit" a déclaré solennellement Alexis Tsipras.

Le rigoureux Mario Monti gère le pays avec précaution, mais peut-il pour autant éviter la chute ?

Le gouvernement grec, fraichement élu, espère obtenir plus de temps auprès de ses créanciers. Et n'exclut pas de demander une rallonge à l'Europe.

Jean-Jacques Netter, vice-président de l'Institut des Libertés, dresse, chaque mardi, un panorama de ce qu'écrivent les analystes financiers et politiques les plus en vue du marché.

L’exemple grec a démontré le pouvoir exorbitant des créanciers privés de la dette des États dans le cours de la démocratie, et la conduite des politiques publiques. La situation de la France est tout aussi opaque.

Ses investisseurs privés ont accepté d'effacer une ardoise de plus 100 milliards d’euros.

Malgré la démission de l'extrême droite, le plan de rigueur devrait être voté ce dimanche.

Pire, ce ne sont pas les seuls pays de la zone euro assis sur un véritable baril de poudre. Et les banques pourraient bien faire sauter avec eux toute la zone euro.

La banqueroute : une solution toute simple que personne ne semble considérer.