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La région russe de Belgorod est la cible d’une incursion de combattants armés venant d’Ukraine, qui a forcé la Russie à décréter un régime « antiterroriste » et à évacuer les civils pour tenter de repousser cette nouvelle attaque sur son sol.

Le ministre russe de la Défense a ordonné ce mercredi le retrait des forces russes de la rive droite du fleuve Dniepr dans la région de Kherson. L'armée ukrainienne continue sa contre-offensive dans cette localité.

Evguéni Prigojine, un homme d'affaires proche du Kremlin, a reconnu lundi avoir fondé en 2014 le groupe paramilitaire Wagner, présent dans de nombreux conflit dans le monde, le qualifiant de « pilier » de la défense des intérêts russes.

Quelques jours après l'appel à la « mobilisation partielle » du dirigeant russe, les sanctions pour les déserteurs se durcissent. 300.000 réservistes ont été appelés pour venir renforcer les rangs de l'armée russe.

Les messages interceptés et les témoignages de civils à travers l'Ukraine permettent de dresser un portrait des troupes russes. Beaucoup de soldats en Russie ont rejoint les forces armées parce qu'ils n'avaient pas d'avenir professionnel.

Un combattant français est mort en Ukraine dans la région de Kharkiv , selon des informations d’Europe 1. Il a été "mortellement blessé par des tirs d’artillerie".

Jan Jambon, ministre de l'Intérieur de la Belgique, craint que les "3.000 à 5.000" Européens présents en Syrie soient renvoyés par l'Etat islamique dans leurs pays.

L'agence Associated Press évoque des camps d'entraînement en Irak et en Syrie, où l'Etat islamique prépare des centaines d'hommes à perpétrer des attaques de grande ampleur sur le continent européen.

Alors que près de 2.000 citoyens combattraient auprès de l'Etat islamique, le mois dernier, l'ensemble de la rébellion islamiste dans le Caucase russe a officialisé son ralliement à Daech.

Selon le journaliste David Thomson, spécialiste du groupe terroriste, un combattant pourrait percevoir jusqu'à 400 dollars par mois.

Ces "peshmergas" viennent prêter main forte aux kurdes de Kobané qui résistent aux djihadistes de l'Etat islamique depuis déjà plus d'un mois. Ils devraient arriver dans les prochains jours.

L'homme cherchait à rejoindre le groupe Etat islamique (EI) via la Turquie. Il était en relation avec une "cellule terroriste démantelée le 14 août dernier", a déclaré le ministère marocain de l'Intérieur.

C'est en tout cas ce qu'a indiqué, selon le Figaro, Bernard Cazeneuve lors d'une audition devant la commission des lois de l'Assemblée nationale.

Les opposants à Bachar el-Assad occupent désormais plusieurs postes-frontière avec la Turquie. Des jeunes, qui souvent accomplissaient leur service militaire...