Depuis le XVIIe siècle, le secret diplomatique a souvent été secret d'alcôves avec un s et "valise diplomatique" a rimé plus d'une fois avec "vanity-case" : des nièces de Mazarin aux "gaullistes queutards", en passant par les maîtresses royales et les ambassadeurs-étalons, on a beaucoup couché (ou tenté de coucher) pour maintenir la grandeur de la France, et jamais la petite histoire n'a aussi bien expliqué la grande. Extrait de "Une histoire érotique de la diplomatie", de Nicolas Mietton, aux éditions Payot 2/2
12 novembre 2016