Atlantico LitteratiTanguy Viel : chair de femme
Avec « La fille qu’on appelle » (Minuit), Tanguy Viel s’impose. Des personnages un peu- voire beaucoup- à l’Ouest. Sur le fond, un faux polar dénonçant l’emprise sexuelle. Pour ce qui est de la forme, un style éblouissant.
29 août 2021